Dans les rues d'un Paris déserté, la narratrice avance la peur au ventre et la joie au coeur : c'est chez Sara qu'elle se rend, pour la toute première fois. Les premières fois, les deux amantes les comptent et les chérissent, depuis leur rencontre, les messages échangés comme autant de promesses poétiques, le désir contenu, jusqu'à l'apothéose du premier baiser, des premières caresses, de la première étreinte.
Débute une romance ardente et délicate.
Toumany Coulibaly est champion le jour, voyou la nuit. C'est l'histoire d'un journaliste qui a grandi dans le même quartier de banlieue, à la même époque. Mathieu Palain, lui, est tombé du bon côté de la vie. C'est l'histoire d'une amitié née dans un parloir de prison, et dont chaque page est comme une décharge d'adrénaline.
Mathieu Palain m’a fait pleurer, mise en colère et subjuguée avec « Sales gosses ». Journaliste et écrivain, il affectionne le récit en immersion. Ici, il nous raconte l’histoire de Toumany Coulibaly, athlète champion de France du 400m le jour et cambrioleur la nuit. L’auteur s’interroge. Pourquoi tout détruire pour si peu ? Pourquoi tout perdre pour si peu ? Mathieu Palain rend visite à Toumany alors condamné et emprisonné ; il écrit la banlieue, l’amitié, la délinquance, l’univers carcéral. Toumany est quelqu’un de gentil, de talentueux mais il ne fait jamais, sciemment jamais, les bons choix. Pourquoi ? Une écriture réaliste de la France d’aujourd’hui.
Un vent de liberté qui va décoiffer !
Marlène aime 3 choses : les livres, sa tante Ruby et passer du temps avec sa meilleure amie. Ce qu'elle déteste par-dessus tout : le salon de coiffure où sa mère la traîne de force tous les week-ends. Pour être " présentable ", adieu les frisottis, bonjour les cheveux lisses. Mais un vent de rébellion est en marche et Marlène a décidé qu'il était temps de porter fièrement sa chevelure. Alors, avec détermination (et parfois maladresse), elle tente une révolution !
Malibu, 1983. Livrés à eux-mêmes dès leur plus jeune âge, les enfants Riva, aujourd'hui surfeurs, mannequins, photographes, ont réussi à devenir des modèles de succès qui fascinent l'Amérique. Mais lors d'une fête mémorable, tous les secrets qui se cachent sous cette belle façade risquent d'éclater...
Malibu, samedi 27 août 1983. La ville entière vibre d'excitation : ce soir, Nina Riva donne sa grande fête annuelle, l'événement le plus notoirement décadent de la côte ouest auquel tout le monde rêve d'être invité, stars du show-biz comme anonymes. La seule personne à ne pas partager cet enthousiasme est peut-être Nina, justement. Après des années à porter sa célèbre famille à bout de bras, elle se passerait bien de jouer une fois de plus les hôtesses parfaites.
Livrés à eux-mêmes dès leur plus jeune âge, les enfants Riva ont réussi à devenir des modèles de succès qui fascinent aujourd'hui l'Amérique. Mais sous cette belle façade, Nina, Jay, Hud et Kit cachent chacun leurs propres secrets. Et si à minuit la fête bat son plein, au matin, leur palais de verre sera en flammes.
Des côtes escarpées de Malibu aux plages de sable fin du Pacifique, en passant par l'emblématique Pacific Coast Highway, le portrait envoûtant d'une fratrie aux prises avec ses rêves et son histoire familiale.
Presse :
De l'exaltation pure. The Times Ensorcelant ! Elle L'un de ces livres magnifiques, à la construction et à l'écriture parfaitement maîtrisées Le Dauphiné Libéré On se jette sans retenue dans cette version moderne et féminise de Gatsby le Magnifique. Nous Deux A dévorer confortablement installé sur une plage Femme Actuelle Un très gros coup de coeur ! Nice Matin
Le Marchand de Tapis de Constantinople est une magnifique histoire sur l'amour, la famille, la foi et le deuil. Elle raconte la vie de Zeynel, un homme ordinaire qui va rencontrer l'extraordinaire au cours de sa vie et de sa mort, et les conséquences de sa transformation en vampire.
Né dans une famille renommée d'intellectuels, le jeune Zeynel rencontre Ayse, une anatolienne d'un petit village qui a de grands rêves. Alors qu'il est hésitant et pressé de suivre les exigences des autres, elle, au contraire, est sûre d'elle et sait précisément comment attendre son but. Leur rencontre est peut-être plus que de la chance...
Vingt-cinq ans plus tard, Ayse est une femme d'affaire prospère, et Zeynel, son mari heureux. Mais lors d'un voyage, il joue au bon samaritain et aide un mystérieux voyageur, qui va causer sa perte... Entrainé de force dans des conséquences fâcheuses, il va devoir apprendre à se réconcilier avec sa malédiction et faire des sacrifices afin de protéger les gens qu'il aime, même si ça implique de sacrifier les choses auxquels il tient le plus.
Un ouvrage tendre et puissant sur l'amour, la découverte de soi et le doute. Richement et magnifiquement illustré.
Jade
Valerie Chu est une lycéenne discrète, studieuse, et surtout très mince. Personne, pas même sa meilleure amie Jordan, ne sait qu'elle se fait régulièrement vomir depuis des années. Val peine à savourer la vie, même lorsqu'elle est en voyage scolaire à Paris, la ville la plus romantique du monde, avec Allan, qu'elle aime en secret. Le jour où une tragédie frappe sa famille, Val est obligée de reconsidérer ses priorités, son regard sur le monde... et son rapport à son corps. Mais c'est un combat qu'elle ne pourra pas livrer seule : elle devra d'abord apprendre à demander de l'aide.
Ce roman graphique traite des troubles alimentaires, des dynamiques familiales parfois toxiques, mais il raconte surtout une émouvante quête d'amour de soi.
Il n'est jamais aisé de parler de personne souffrant de trouble alimentaire et des causes, poutant c'est réussi avec brio, soin et délicatesse.
Jade
Edward Curtis est le héros malgré lui de cette histoire portée par le souffle des récits du Grand Ouest américain. Grâce à la force de son écriture, le scénariste Jean-Louis Milesi donne vie à une aventure qui ouvrira le regard du grand photographe sur les Indiens et leur disparition programmée.
Ce jour de juillet 1900, Edward Sheriff Curtis aurait dû mourir égorgé par Henry, bandit de grand chemin. Mais c'est ce même homme qui lui sauve la vie.
Un Henry qui s'appelle en réalité Mika Ohiteka, en sioux " féroce raton laveur ". Il a dix ans en 1862 lorsque, après une nouvelle guerre perdue contre les Blancs, les Sioux sont déportés hors du Minnesota. Alors que leur convoi traverse une ville, une foule haineuse l'attaque. Mika se retrouve isolé des siens. Perdu en plein hiver. Remontant la rivière, il survit et arrive à Mankato. Accoutré en Blanc, le jeune Indien se fond dans la foule venue assister à une pendaison collective. Les condamnés à mort : trente-huit guerriers sioux. Parmi lesquels son grand frère, Hdainyanka.
Curtis, trente-huit ans plus tard. Il a été dépouillé de son chariot, son matériel photographique, son revolver par les bandits... Sans Henry, il n'aurait pas survécu à la chaleur, la faim, la soif. Un long périple conduit les deux hommes jusqu'à une réserve, dans le Dakota du Sud, où le photographe découvre les misérables conditions de vie des Indiens. Et où il comprend qui est Henry, devenu son ami.
Il ignore encore qu'il passera les trente prochaines années de sa vie à témoigner de la beauté et de la grandeur de cette " race qui disparaît ".
Milesi maîtrise une écriture très personnelle pour caractériser cet univers, et raconter la naissance d'une vocation à une période mythique, avec l'un des derniers grands combats des Indiens contre les Blancs ; les conditions de vie dans des réserves misérables sur des territoires déshérités ; un orphelinat catholique pour les filles, arrachées à leurs familles et soumises à des traitements implacables.
Et au coeur de cette histoire, Edward Curtis, dont l'oeuvre photographique et mémorielle est universellement connue.
Au tournant du XXe siècle, Edward S. Curtis. consacra 20 ans de sa carrière de photographe - ethnographe à rendre vie aux Amérindiens étasuniens et canadiens que l’homme blanc
cherchait alors à rendre invisibles.
JF. Milesi (scénariste des premiers films de R. Guédiguian), imagine dans quelles circonstances il aurait pu forger cette vocation, et mettre à profit sa maîtrise de la photographie encore balbutiante pour établir l'encyclopédie de référence sur la peuples autochtones d'Amérique du Nord.
C'est romanesque, émouvant, ET historiquement ancré, bref... Passionnant !
Élodie
Pologne, 1980. Ludwik et Janusz, étudiants, tombent amoureux lors d'un camp d'été à la campagne. Mais de retour à Varsovie, sous le joug d' un Parti omniprésent et menaçant, leur relation secrète devient dangereuse. Ludwik et Janusz sont confrontés au choix d'une vie : Faut-il (se) trahir pour protéger celui que l'on aime ? Porté par une plume élégante et sensible, Les nageurs de la nuit nous plonge dans une histoire d'amour déchirante à l'époque du rideau de fer.
«Marguerite se transporte dans le coin de l'atelier où peint son grand-père. Elle aime qu'il feigne de ne pas l'avoir vue. Elle l'observe manier le pinceau, poser la couleur, et les mains la démangent.»Marguerite vit sur le pont Notre-Dame. Sa famille y tient l'échoppe d'enluminure la plus célèbre de Paris. Irrésistiblement attirée par l'atelier et ses couleurs flamboyantes, la jeune fille contemple les livres ornementés que fabrique son grand-père et se rêve artiste à son tour. Au fil du temps, Marguerite, libre et talentueuse, parvient à gagner sa place dans ce domaine réservé aux hommes. Mais au Moyen Âge, qu'il s'agisse d'amour ou de vocation, une femme peut-elle échapper à sa condition ?
Le passionnant portrait d’une femme, seule parmi les hommes, dans le Paris des derniers enlumineurs et premiers imprimeurs.
Élodie
Publier le roman-fleuve de Margaret Mitchell était déjà une gageure, mais faire d'Autant en emporte le vent un film était une pure folie. Des centaines de décors, de costumes et d'acteurs pour un film d'une longueur invraisemblable : un défi qui aurait pu ruiner David O. Selznick, son producteur mégalomane, bien décidé à réussir «le plus grand film de tous les temps». Par-delà les tractations cocasses et les imprévus en tous genres, une question centrale s'invite au coeur des débats qui agitent les États-Unis : qui pour incarner Scarlett ?Dans ce roman trépidant, François-Guillaume Lorrain fait revivre les affres, les plaisirs et le quotidien des protagonistes de cette aventure éditoriale et cinématographique qui marqua l'âge d'or d'Hollywood.
Des egos surdimensionnés, des millions de dollars, et bien sûr… des paillettes !
Savoureux
Élodie
Ce roman commence par un cri. Ce cri, interminable, est celui que lance Ada, adolescente de 16 ans, en plein cours d'histoire dans un lycée londonien. Ce roman se termine par un rêve, celui d'une renaissance. Entre les deux a lieu la rencontre du Grec Kostas Kazantzakis et d'une jeune fille turque, Defne, en 1974, dans une Chypre déchirée par la guerre civile.De sa prose puissante, Elif Shafak nous conte l'histoire d'un amour interdit dans un climat de haine et de violence qui balaie tout sur son passage - avec l'espoir, tout de même, de libérer la parole des générations précédentes.
Ada est née à Londres, sa mère décède et vient sa tante, une inconnue qu'elle va peu à peu apprécier. L'Histoire chypriote retracée via le récit du passé des parents dont l’amour a vaincu les conflits communautaires. Un très beau texte, comme sait si bien le faire Elif Shafak, avec le personnage du figuier comme figure de proue.
Virginie
Fausto a quarante ans, Silvia en a vingt-sept. Il est écrivain, elle est artiste. Tous deux sont à la recherche d'un ailleurs, où qu'il soit. Alors que l'hiver s'installe sur Fontana Fredda, au coeur de la vallée d'Aoste, ils se rencontrent dans l'unique restaurant du village. Fausto fait office de cuisinier, Silvia, de serveuse. Ils se rapprochent doucement, sans rien se promettre.
Quand arrive le printemps, Silvia quitte les lieux pour aller toujours plus haut, vers le glacier du Félik, tandis que Fausto retourne en ville rassembler les morceaux de sa vie d'avant. Mais le désir de montagne, la fraternité des hommes et des femmes qui l'habitent et le souvenir de Silvia sont trop forts pour qu'il résiste à leur appel.Par le calme, la sobriété et la beauté qu'il dégage, ce roman a sur le lecteur l'effet d'une pause et d'une caresse. Elle.La puissante histoire chorale d'une quête de sérénité et d'apaisement. Le Monde des livres.Un livre magique. Télérama.Traduit de l'italien par Anita Rochedy.
Laissez-vous envoûter par ce nouveau roman de Paolo Cognetti qui fait la part belle à la Montagne et aux gens qui l'habitent. La rudesse de la nature met en lumière la solidarité et la grâce des relations humaines et tout cela donne au récit un attrait particulier.
Un grand bol d'air!
«Ils restent d'abord absorbés par la marche, mais le silence du père est en vérité plein de mots, habité d'une voix provenant de ses tréfonds et dont la montagne tout entière se ferait l'écho.»Après plusieurs années d'absence, un homme resurgit dans la vie de sa compagne et de leur jeune fils. Il les entraîne aux Roches, une vieille maison isolée dans la montagne où lui-même a grandi auprès d'un patriarche impitoyable. Entourés par une nature sauvage, la mère et le fils voient le père étendre son emprise sur eux et édicter les lois mystérieuses de leur nouvelle existence. Bientôt, tout retour semble impossible.
Un enfant raconte : le retour du père, le départ pour une bergerie dans la montagne. A travers un huis-clos dans un décor de nature profonde, la violence et la folie, la culpabilité se révèlent. Comme une malédiction.
Des premiers pas à l'adolescence, dans cette campagne qui l'a vue naître, Gabrielle, avec une énergie prodigieuse, grandit, lutte, s'affranchit. Gymnaste précoce, puis soudain jeune femme, Gabrielle ignore les araignées dans son souffle comme les regards sur son corps. Elle avance chaque jour un peu plus vers la fin de l'enfance.
Prix du roman Marie-Claire 2022.
Prix Régine Deforges du premier roman 2022.
On suit Gabrielle, adolescente de 13 ans très affectée par le décès de son arrière-grand-mère. Le roman opère des flash-backs pour que le lecteur comprenne mieux qui est cette jeune femme en construction. C'est un 1er roman très réussi autour d’une adolescente en souffrance, entourée par des femmes présentes mais parfois trop silencieuses. La fin est remarquable.
Excepté mes démangeaisons inexpliquées et ma passion dévorante pour mon mari, ma vie est parfaitement normale.
Elle a la vie dont elle rêvait : une belle maison, deux enfants, l'homme idéal. Après quinze ans de vie commune, elle ne se lasse pas de dire : Mon mari ! Pourtant elle veut plus encore : il faut qu'ils s'aiment comme au premier jour. Alors elle s'impose une discipline de fer pour entretenir la flamme. Elle l'observe, note ses fautes, tend des pièges, le punit en conséquence. Elle est follement amoureuse de lui. Jusqu'au jour où, évidemment, elle va trop loin... Véritable phénomène, sélectionné par plus de 10 prix littéraires, finaliste du prix Médicis, lauréat du prix du Premier Roman, Mon mari est un livre irrésistible - dérangeant, tendu, drôle et grinçant - qui a déjà conquis 80 000 lecteurs et a été traduit dans une dizaine de pays.
Un délice irrésistible. Amélie Nothomb Si réussi qu'il donne envie de le relire aussitôt. Jérôme Garcin - L'Obs Un pur régal, foncez ! Arnaud Viviant - France Inter Un thriller absolument fascinant, impossible à lâcher. Oprah Winfrey
Un premier roman. Une histoire d'amour passionnée, extrême, folle, névrosée, obsessionnelle et dérangeante. La narratrice nous raconte son amour pour son mari, un amour si fort qu’elle en est malheureuse. Oui parce que vous allez voir : sur une semaine, elle nous raconte les déceptions engendrées par son mari, ses attentions, ses efforts pour ne pas l’étouffer, sa prise de notes sous forme de fautes commises / punitions récoltées… Une intrusion dans la tête de l’épouse, une description acérée de la vie conjugale.
C’est la fin qui fait le roman ! Une écriture fine et tendue jusqu’à l’apothéose finale.
Virginie
«Je voulais garder l'image que j'avais d'elle : libre, fantasque, ne recevant d'ordre de personne et acceptant d'en payer le prix.»Après des années à faire des ménages à Paris, Mariette hérite d'une vieille bâtisse en Normandie. Charmée par les lieux, elle y emménage et s'épanouit dans son jardin en friche, à l'écart du monde. Mais l'arrivée de Louise interrompt sa retraite : cette adolescente, en vacances dans la région, cherche un refuge à l'ennui et à la lourdeur familiale. Peu à peu, toutes deux nouent une complicité émerveillée autour du jardin sauvage. Le lien inattendu créé cet été-là bouleversera à jamais l'existence des deux femmes.
Suri, qui aime les monstres, espère les dompter un jour. Elle étudie leurs traditions, et fait trembler les autres enfants en racontant des histoires à leur sujet. Malheureusement, personne ne la prend au sérieux. Mais la témérité, l'intelligence et l'ambition de Suri vont lui servir quand elle devient la propriétaire inattendue d'un morceau de ficelle, auquel elle accroche une amulette en forme de dent de dragon pour se protéger. Elle rencontre alors un garçon étrange qui semble porter une attention particulière à cet objet. C'est le début pour Suri d'une succession de rencontres et d'événements mystérieux qui vont la mettre malgré elle sur le chemin de l'aventure... et de son rêve.
Une jeune fille dresseuse de monstres, de la magie et du mystère dans un récit initiatique aux dessins charmants !
Jade
Pour Taiza Kujô, la loi et la morale sont deux choses différentes. C'est pourquoi il ne ressent pas de culpabilité à défendre des membres de la pègre ou des individus ayant déjà un casier judiciaire bien rempli. Son objectif est de trouver une ligne de défense qui aura un maximum d'avantages pour le client qu'il défend. Le profit ne l'intéresse d'ailleurs pas. Son seul objectif : défendre son client, qui que soit l'adversaire en face.
Un bon avocat doit pouvoir défendre son client de la meilleure façon qui soit. Facile à dire.
Mais si le client est la pire des raclures et si sa victoire fout en l’air la vie de sa victime ?
C’est tout de suite moins marrant.
Pour Kujo, pas de dilemme, la morale et la loi, ce sont deux choses différentes, il fera tout pour défendre son client.
Un manga sombre et perturbant, mais vraiment prenant par l’auteur de Ushujima l’usurier de l’ombre que je vous conseille aussi !
Hugo
Après avoir perdu son père, la lycéenne Tamaki Mishina quitte son village de campagne pour partir étudier à la capitale. Par une chaude après-midi d'été, alors qu'elle cherchait un lieu où dormir, elle attrape une insolation et tombe dans les pommes. Elle se réveille chez Logan un beau musicien coureur de jupons ! Elle accepte de rester chez lui, le temps de trouver un lieu où vivre.
Afin d'accéder au rang suprême de « Death Scythe », une arme démoniaque doit ingérer 99 âmes humaines et 1 âme de sorcière. Cette mission est confiée aux Meisters, des spécialistes du combat qui vont récolter les âmes au péril de leur propre vie. Dans Soul Eater, partez à la chasse aux âmes en compagnie des élèves de l'institut Shibusen, école de formation pour faucheurs d'âmes !
"Le best-seller d Urasawa nommé pour le prix du meilleur scénario au festival de la Bande Dessinée d Angoulême en 2003.
Dix ans après que les machines ont quitté la galaxie, la magie a repris ses droits au seul bénéfice de Mère, personnage terrifiant parvenu à soumettre plusieurs planètes à sa volonté. Sur Sampson, la jeune Mila et son père Andy recueillent contre toute attente un petit droïde qui va attirer l'attention des sbires de Mère. Ils doivent quitter la planète, mais dans un monde sans technologie, la tâche n'est pas aisée...
Avocate en devenir, Camelia est passionneée de crimes non reésolus. Ca tombe bien, Rory Cavendish, son ancien bourreau, vient de mourir mysteérieusement. Le preésumeé coupable du meurtre, c'est lui. Lou McAllister.
Le meilleur ami de Rory.
Le garcon qui l'a humilieée il y a dix ans et qu'elle n'a jamais oublieé depuis.
Camelia saisit cette chance pour reésoudre sa premiere enquete... et satisfaire sa soif de vengeance.
Lou a toujours eéteé le mouton noir de sa famille, mais il ne s'attendait pas a finir en prison pour meurtre. Du jour au lendemain, le voila abandonneé par tous ceux en qui il avait confiance. La seule personne a pouvoir le sortir de la, c'est elle.
Camelia O'Brien.La premiere victime de Rory.
La fille qu'il a blesseée plus jeune et qui hante ses penseées depuis.Lou est pret a tout pour se faire pardonner ses peécheés... et repartir de zeéro.
Très agréablement surprise par ce roman qui m'a tenu en haleine tout du long.
Un ambiance dark academia au rendez-vous (il faut dire, ça se passe à Édimbourg et dans les petites familles bourgeoises), des personnages bien construits qui se révèlent petit à petit et une enquête qui vous mène par le bout du nez.
Jade
Roanne adore les romans d'horreur et la natation synchronisée, d'accord, mais elle avait vraiment d'autres projets que de partir passer l'été chez son oncle Kierzic, qu'elle ne connaît même pas ! Ce type aussi grincheux que mystérieux vit en solitaire dans un phare planté au large de la côte Atlantique, avec pour toute compagnie une mouette rieuse et les rumeurs de l'océan. Dès son arrivée, Roanne est déterminée à s'en aller au plus vite de ce tas de caillou désert. Désert, vraiment ? Dans la bourgade du coin, on raconte que des naufrages auraient lieu les soirs de pleine lune. Au même moment, un bateau de pêche est porté disparu. Et d'où vient cette voix d'enfant qui l'appelle chaque nuit ? Plus le temps passe, plus Roanne se demande si Kierzic ne serait pas un...
Une lecture douillette où se mêle le folklore marin de la Bretagne et les thèmes de la famille de sang et de la famille de cœur. Une famille que l'on ne veut jamais quitter.
Jade