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La mariée portait des bottes jaunes
Katherine Pancol
- Le Livre de Poche
- Litterature
- 5 Juin 2024
- 9782253907770
Quand leur mère les dépose devant la grille du château de Berléac en leur promettant de revenir les chercher, India et Louis ne savent pas ce qui les attend. Ils vont devoir passer en un éclair de leur petite maison dans un lotissement à un château du XVIIIe siècle, et apprendre les codes d'une grande famille bordelaise, fière de son vignoble et de ses ancêtres. Que de secrets, de trahisons, d'avidité en cette demeure prestigieuse, où chacun joue un rôle et entend occuper le devant de la scène ! Sans le vouloir, avec leur candeur et leur fantaisie, les enfants vont tout dynamiter. C'est drôle, c'est tragique, c'est virevoltant, cruel et tendre ; c'est la vie.
On déguste ce roman gouleyant, riche en tanin, comme on siroterait un verre d'un excellent bordeaux. Sophie Davant.
Avec vivacité et humour, Katherine Pancol signe un éclatant tableau de famille et mène son intrigue à bride abattue. Anne Michelet, Version Femina.
Un puzzle romanesque dans une valse de points de vue, de rebondissements et de clins d'oeil à Angélique, marquise des anges. Fou et fougueux. Gilles Medioni, Marie France. -
Les yeux jaunes des crocodiles
Katherine Pancol
- Le Livre de Poche
- Litterature
- 30 Mai 2007
- 9782253121206
Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l'histoire d'un mensonge. Mais aussi une histoire d'amours, d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c'est la vie.
Ce roman a obtenu le Prix Maison de la Presse en 2006. -
Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser... Deux bras qui enlacent ou qui tuent... Un homme inquiétant, mais si charmant... Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment... Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour... Des adolescents plus avertis que les grands... Un homme qui joue les revenants... Un père, là-haut dans les étoiles... qui murmure à l'oreille de sa fille... Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage... Des personnages qui avancent obstinément... comme des petites tortues entêtées... qui apprendraient à danser lentement, lentement... dans un monde trop rapide, trop violent...
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Katherine, la blonde, et Eugène, la rousse, n'ont rien en commun, si ce n'est leurs vingt ans et un mot d'ordre : « Sans risque, la vie est trop triste » !
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Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi
Katherine Pancol
- Le Livre de Poche
- Litterature
- 1 Juin 2011
- 9782253161950
Souvent la vie s'amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue... Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi... -
Rose est une jeune biologiste. Elle fait des recherches à Paris et à New York sur une luciole, Lamprohiza splendidula, qui semble très prometteuse pour la science médicale. Si elle étudie avec grande maîtrise l'alchimie sexuelle des insectes et leur reproduction, elle se trouve totalement désemparée quand elle tombe amoureuse. La vie n'est pas comme dans un laboratoire. Et ce n'est pas sa mère (cachée derrière des lunettes noires) ni sa grand-mère (qui parle à Dieu et à ses doigts de pied) qui vont pouvoir l'aider...Une comédie romantique loufoque et crue. Katherine Pancol surprend encore. Alexandre Fillon, Lire.Troublant et touchant. Alix Girod de l'Ain, Elle.
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Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C'est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s'inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s'envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d'amour lancés à la volée. La vie, quoi !
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Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment. Des filles qui se battent pour la vie. Et les hommes ? Ils sont là aussi. Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent. Elles font voler les destins en éclats. Et ça n'en finit pas !
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Pour certaines, c'est l'heure de la revanche. Pour d'autres, celle de la délivrance. Ou de l'espérance. Tout se noue, se dénoue, se renoue. Les muchachas avancent à grand pas. On ne sait jamais ce qui va arriver. On retient son souffle, on croise les doigts. Et viva las muchachas !
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Trois baisers, trois baisers et l'homme caracole, libre, flamboyant, crachant du feu et des étoiles.Ses sens s'affolent, il voit mille lucioles, des pains d'épices, des incendies...
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« Ceci est l'histoire de Kay Bartholdi. Un jour, Kay est entrée dans mon restaurant. Elle a posé une grosse liasse de lettres sur la table. Elle m'a dit : Tu en fais ce que tu veux, je ne veux plus les garder. » Ainsi commence ce roman par lettres comme on en écrivait au XVIIIe siècle. Il raconte la liaison épistolaire de Kay Bartholdi, libraire à Fécamp, et d'un inconnu qui lui écrit pour commander des livres. Au fil des lettres, le ton devient moins officiel, plus inquisiteur, plus tendre aussi. Kay et Jonathan parlent de leurs lectures, certes, mais entament un vrai dialogue amoureux. Ils se font des scènes, ils se font des confidences, ils se tendent des pièges, s'engagent dans une relation que Kay, hantée par le souvenir d'une déchirure ancienne, s'efforce de repousser.
Mais qui pourrait prédire vers quelle révélation l'emmène ce nouveau lien noué à travers des livres dont chacun des correspondants se sert comme de masques pour cacher ses vrais sentiments ? Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es et comment tu aimes... semble dire ce nouveau roman de Katherine Pancol, auteur, entre autres, d'Embrassez-moi, J'étais là avant ou Les hommes cruels ne courent pas les rues. -
Ils forment une bande d'amis : Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha. Ils ont grandi ensemble à Montrouge, banlieue parisienne. Ils ont habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se sont jamais quittés.
Lorsqu'ils sont devenus adultes, leurs vies ont pris des tournants différents mais leur amitié a résisté au temps, à la réussite des uns, aux échecs des autres. Leurs espoirs, leurs illusions se sont réalisés ou envolés. Ils se retrouvent comme avant, pratiquent toujours leurs rites d'amitié même si leur musique, parfois, émet des fausses notes qu'ils s'empressent d'oublier de peur de troubler cette belle harmonie qui leur est nécessaire pour affronter la vie, la peur de vivre.
Mais une nouvelle épreuve, plus sournoise, plus terrible, s'annonce. face à elle, ils ne peuvent pas tricher. Les masques vont tomber. Le groupe menace de voler en éclats, de révéler des trahisons, grandes ou petites, et mille ressentiments longtemps cachés. Arriveront-ils à franchir cette étape inattendue qui les met chacun face à eux-mêmes, qui les oblige à faire le point sur ce qu'ils sont devenus sans complaisance ni lâcheté ? C'est le sujet de ce roman où les enfants ont grandi, ont vieilli et doivent abandonner le trouble paradis de l'enfance, des apparences, pour affronter la vie, et conjurer la peur qui nous saisit tous quand il s'agit de devenir grands... -
C'est à New York aujourd'hui.
C'est à Rochester dans les années 1980.
C'est à Hollywood...
C'est à Paris...
C'est en Tchéquie avant et après la chute du Mur...
Angela est française. Elle est souvent passée à côté de l'amour sans le voir mais cette fois, elle est face à sa peur viscérale d'aimer...
Louise est américaine, ancienne star de cinéma. Elle dialogue avec Angela, lui raconte sa vie, ses amours, ses échecs.
Virgile est français. Il aime, mais il se méfie, on ne sait presque rien de lui...
Mathias est tchèque. Rien ne peut le détourner de sa route. Il refuse de s'abandonner.
Ces femmes, ces hommes traversent le chemin d'Angela, la narratrice, qui cherche désespérément un fil. Le fil de la mémoire, de l'amour, du désir, de la liberté d'aimer ou de répéter sans arrêtl es mêmes peurs, les mêmes douleurs, les mêmes échecs... -
J'étais là avant Elle est libre. Elle offre son corps sans façons. Et pourtant, à chaque histoire d'amour, elle s'affole et s'enfuit toujours la première.
Il est ardent, entier, généreux. Mais les femmes qu'il célèbre s'étiolent les unes après les autres.
Ces deux-là vont s'aimer. Il y a des jours, il y a des nuits. Le bonheur suffocant. Le plaisir. Le doute. L'attente. Mais en eux, invisibles et pesantes, des ombres se lèvent et murmurent : « J'étais là avant. » Des mères qui les ont aimés ou trahis, qui ont rêvé, souffert, espéré. Des mères qui vivent encore en eux et les empêchent d'aimer. On n'est jamais tout seul dans une histoire d'amour.
On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous.
J'etais là avant est le roman d'une femme qui se libère de ses démons. Qui nous libère de nos démons...
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Et monter lentement dans un immense amour...
Katherine Pancol
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 11 Mars 2003
- 9782253154242
« C'est beau un homme de dos qui attend une femme. C'est fier comme un héros qui, ayant tout donné, n'attend plus qu'un seul geste pour se retourner. »
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Un coffret qui regroupe les 3 tomes :
Muchachas 1 Les filles sont partout dans ce roman.
Elles mènent la danse.
De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami.
Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment.
Des filles qui se battent pour la vie.
Et les hommes ?
Ils sont là aussi.
Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent.
Elles font voler les destins en éclats.
Et ça n'en finit pas !
Muchachas 2 Ces filles-là sont intrépides.
Elles ne demandent rien aux autres.
Tout à elles-mêmes.
Cachent leur peur sous un sourire.
C'est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s'inventer.
Elles se sentent pousser des ailes, s'envolent, tombent et repartent de plus belle.
Il y a des secrets, des mystères, des trahisons.
Des obstacles à surmonter.
Des mots d'amour lancés à la volée.
La vie, quoi !
Muchachas 3 Pour certaines, c'est l'heure de la revanche.
Pour d'autres, celle de la délivrance.
Ou de l'espérance.
Tout se noue, se dénoue, se renoue.
Les muchachas avancent à grand pas.
On ne sait jamais ce qui va arriver.
On retient son souffle, on croise les doigts.
Et viva las muchachas ! -
Les yeux jaunes des crocodiles ; la valse lente des tortues ; les écureuils de Central Park sont tristes le lundi ; coffret
Katherine Pancol
- Le Livre De Poche
- Ldp Litterature & Documents
- 14 Février 2012
- 3277450214692
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Coffret Noël : les yeux jaunes des crocodiles
Katherine Pancol
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 1 Novembre 2008
- 9782253126683
Le roman se passe à Paris. Et pourtant, on y croise des crocodiles. Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais ou peut-être un jour. Ce roman est une histoire d'amour, d'amitiés, de trahisons. Ce roman est plein de rires et de larmes. Ce roman, c'est la vie.